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Le blog de Fillfoule @JeanneRavenne

Je cherchai une âme qui me ressemblât... En quête de sages, d'artistes bienveillants et de penseurs généreux en prise avec notre présent pour un meilleur demain.


Petite CessePrin

Publié par fillfoule sur 17 Octobre 2015, 16:21pm

Et comprise l'incertitude de tes pôles : Du soir où tout est avenir Du matin et de tes ras le bol.

Comment le vivre? Toi! Comment survivre? Moi.

Et te suivre au quotidien Ravager nos serments Ranimer ton ex-amant En silence de si loin

Tu te sens libre! Bien. Je ne peux plus suivre, Plus rien.

Nos retrouvailles, Ces gares froides ou baignées de soleil Des moments de merveille Ou d'ultime tenaille Et définitivement, mon corps enrayé

Je me consume Je bois la lie Tu chantes ta vie Tu ris, tu fumes.

Mon addiction salée? Ton coquillage marin! Dans mes caresses, tes combles. Pas que!

Elles sont sourdes, mes forces mangées par maladie Et cette âme vaillante Comme écorce à la foudre Rongée par ta folie

Affliction, pauvre Ciel Mon Cœur Immense, pour toi Indifférence me refusa

Pourquoi?

Haine, maudire, te traiter de Zinzin, C'était t'aimer encore. Des mois, une année, la vacuité, le vide : Te quitter, ni mon cœur, ni mon âme non plus que la tienne Alors ce corps... Tisse la toile.

Un si grand Amour, futile?

Vienne le repos, non la mort. L'amour, le vrai soit-il! ou rien sans angoisse En confiance En Paix

N'est-ce point une comptine?

--

C'est un amour rare et précieux. On dirait de diamant. C'est le mien et c'est le tien. C'est le nôtre.

aimer c'est... tant à vivre.

Up down, out in, hier, body maldonne and hurt soul Accepter

Seive s'affole Jaime sans Seive s'étiole lui dit, lui crie,

A l'été après la longue gare larmes sos montpellier examens mauvais lutte maladie travail lutte pour la vie Automne, toi et lui silence

Aujourd'hui Notre musique manifeste Réunion charnelle âme-cœur et cette tension vers l'infini aux confins de l'art

Tu as enfin compris notre force, n'est-ce pas?

--

Là, ma colonne Effarée en ma Cène solitude où savamment mon sang en mes veines circulent en corps mien

Vienne ou ne vienne pas Si ma mort se figure, ma mort se préfigure Maladie me l'a dit N'aie crainte Seive jamais ne t'abandonna Amour jusqu'à deux mains t'étreindra Traversera le Ciel par delà mon trépas Car tu ne le sais pas notre étoile a pris place et scintille depuis longtemps Déjà

Pardonne moi Keira Car déjà Jaime m'amuse Et ci Seive rira Et même dans l'au-delà toute félicité avec moi elle chantera comme le gai troglodyte les douceurs de mon âme N'en déplaise aux Autochtones

Merci beaucoup je t'en prie

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